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Le Parc national des Hauts de la Réunion (PNHR)

Le PNH s’étend sur km2, soit % du territoire, du au sommet de l’île. Ses pitons, cirques et remparts sont inscrits au Patrimoine mondial de . Il constitue un enjeu et économique majeur pour l’île. Cela suscite des .


Les Hauts offrent une d’écosystèmes et de paysages. Ils abritent une unique au monde. , l’isolement de l’île et le montagneux ont favorisé : 230 espèces végétales indigènes (sur 850) sont endémiques. Les scientifiques découvrent encore de nouveaux insectes. Mais 22 espèces d’oiseaux ont disparu sur les 40 présentes à l’arrivée des hommes.


Le PNH intègre des ruraux : les habités de Mafate, des Salazes et de Cilaos. Mais plus de 2 000 espèces végétales y ont été introduites. Une cinquantaine d’espèces invasives menace la endémique. Le label UNESCO impose de l’activité humaine et de favoriser naturel. Or, des 24 communes de l’île ont une partie de leur dans le parc.

Le PNH compte un protégé et une d’adhésion évolutive. Ce dispositif limite la et même celle des ruraux. Car les nouvelles sont mal supportées. Des incendies volontaires ont détruit ha du parc. Des agriculteurs considèrent qu’il leur activité. Des et certains du PNH demandent que sa de fonctionnement soit .


La société réunionnaise, , adhère largement au PNH. Mais elle doit s’orienter vers un développement durable qui la population et l’économie des Hauts.

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