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Le génocide arménien

Le génocide arménien constitue un exemple de durant le premier conflit mondial. Il débute le , quand les Jeunes-Turcs déportent et tuent des Arméniens de . Il s’achève en . Les Arméniens estiment que des leurs ont été exterminés. Les Turcs admettent morts dûs à la guerre. Mais ils avoir commis un génocide.


a inventé le mot de génocide en 1943. Selon l’ONU, tout acte « commis dans de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, , racial ou religieux » est un génocide. Or, un ministre turc écrit en 1915 : « le gouvernement a décidé d’ tous les Arméniens habitant en Turquie. » , , vient de s’allier aux Empires centraux. Il veut éliminer sa minorité arménienne, , , en train de rejoindre le camp de la Russie , ennemie héréditaire de la Turquie.


Selon L’Histoire (avril 1995), 600 000 Arméniens auraient été assassinés en Turquie ; 600 000 seraient morts en ; 200 000 se seraient dans le Caucase russe ; 450 000 Arméniens auraient survécu chez eux ou ou dans des camps, placés chez des Turcs ou dans des . Les et les disponibles confirment les massacres. La Turquie refuse d’ouvrir les siennes.


Le génocide arménien montre comment un prend prétexte de la guerre pour exterminer une . Ces violences de masse prolongent leurs effets depuis un siècle et nourrissent des haines .

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